Sujet: Re: Receuil de One shot Le rêve de Diana Jeu 27 Nov - 1:48
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Encore à la demande de la même Un second one shot d'Axel et de Simone.
PS : Simone/ Clémence c'est la même femme. C'est juste que dans la série en VF elle s'appelle Clémence et dans la VO c'est Simone
Mais il est un peu plus, intense, un peu beaucoup donc pour ceux qui ne veulent pas la lire, je peux la mettre en spoiler ;)
Si vous êtes choqués, vous n'êtes pas obligés de le lire, et de passer à l'autre one shot, qui n'a rien d'intense et qui est fleur bleue avec Diana et Julian.
bonne lecture.
One shot 3
Axel
- Spoiler:
« Axel... Arrête..... Ahh..... »
« Non je sais que tu en veux encore.... »
Le jeune homme ne l’écoutait point. Il la caressait de partout et ses doigts avaient finit par descendre sur le **** de la femme. Il y ce qui amplifia le gémissement de cette dernière.
« Arrêteeeee…. Richard pourrait arriver d’un moment à l’autre… »
Il commençait des vas et viens de ses doigts qui étaient de plus en plus rapides. Simone n’en pouvait plus. C’est alors que qu’elle se rapprocha de lui.
« Prends-moi. Maintenant. »
Elle plongeait son regard dans le sien. Il l’embrassa sur les lèvres comme si sa vie en dépendait. Il ferait tout ce qu’elle lui demanderait. Simone lui rendit son baiser avec fougue. Elle aimait tant sentir ses lèvres si douces, et si chaudes contre les siennes. Axel était de plus en plus sauvage lorsqu’il vit qu’elle y répondait avec autant d’ardeur. Il descendit ses baisers brûlants dans son cou, et y passait la langue. Il lui arracha complètement sa chemise. Il lui embrassait entre les deux seins. Simone gémissait. Elle ne se préoccupait plus de rien. Il lui défit alors son soutient gorge. Lui caressa les seins et passa sa langue dessus. Cela faisait la faisait frissonner de plaisir. Elle l’embrassa elle aussi, et passa ses mains partout sur son corps. Elle enfonça ses ongles dans son dos. Elle lui mordilla l’oreille et lui murmura :
« Viens en moi, je n’en peux plus. »
Axel ne se le ferait pas demander deux fois. Il se débarrassa de sa chemise et de son pantalon d’une vitesse éclair. Il prit son caleçon et le lança au travers de la pièce. Il s’occupa aussi des vêtements de Simone, qui en peu de temps, s’était retrouvée nue, elle aussi.Les deux aimants ne cessèrent de s’embrasser. C’est alors que Simone se mit à califourchon sur lui, et Axel était en position assise. Les deux étaient envahis d’un désir que personne ne pouvait imaginer. Axel entra alors en elle. Simone continuait de l’embrasser. Axel accélérait la cadence. Simone gémissait. Il l’embrassait sur les lèvres dans le cou et allait de plus en plus vite. Simone suivait le rythme et restait assise, colée sur lui. Elle croisait les jambes sur son dos. Elle enfonça ses ongles tellement elle était tremblante de plaisir.
« Mmmm… ooohh…. »
« Simone… Ahhh…Mmmm… »
Leur deux corps étaient en sueur, ils étaient au milieu du salon, devant le foyer ou y était un feu ardent. Simone l’embrassait dans le cou. Axel gémissait, il lui murmurait :
« Je t’aime… »
Simone se stoppa. Il se stoppa, lui aussi. Il la regardait droit dans les yeux.
« Qu’est-ce qu’il se passe? »
Simone se rendait compte de ce qu’ils étaient en train de faire. Elle regardait partout autour d’elle. Elle avait été transportée un long moment. Mais, c’est là qu’elle se rendait compte à l’endroit où elle était ! Sa propre maison, ou n’importe qui pouvait arriver! Elle était en plus, aux bras d’un autre homme.
Axel lui caressait les joues.
« Regarde-moi… Simone ! »
Elle se tournait face à lui. Ce n’était pas son mari. Elle paniquait. Elle ne disait rien, mais cela se voyait dans son visage. Il lui caressait les joues.
« Dis-moi que tu m’aimes. Je t’en prie. »
Elle le regardait, elle était perturbée. C’est alors qu’elle se leva.
« Je crois que tu devrais partir. »
Axel se leva à son tour, et lui prit le visage entre ses mains.
« Ne me fais pas ça. S’il te plaît. Je t’aime…. »
Il colla son front au sien, lui passait les mains sur les joues, l’embrassait, mais rien n’y fit. Elle se sépara totalement de lui et enfila ses vêtements rapidement. Axel, lui, était toujours nu. Il la regardait d’un regard triste.
« Tu ne m’aimes pas. »
Elle n’osait pas lui répondre. Il s’approchait d’elle.
« Tu t’es servie de moi. »
Elle dit une phrase, qu’il lui ferait certainement mal au plus haut des points.
« Nous n’aurions jamais du faire cela. »
Cette phrase l’avait cassée en deux. Elle lui faisait terriblement mal. De savoir qu’elle s’était servie de lui, lui donnait le goût de vomir. Il ne disait plus un mot. En un seul instant, l’envie de mourir l’avait envahi.
Il s’habilla en ne lui adressant pas un seul regard. Il partit aussitôt après. Détruit. Il partit en claquant la porte. Suite à cela, Simone s’effondra par terre en larmes. Elle ne savait plus quoi pensée, tiraillée entre deux vies. Sa famille et cet homme. Elle entendit la porte s’ouvrir. Elle courut dans le hall d’entrée, en espérant que s’était lui qui revenait. Par grande désolation, elle vit que ce n’était que son mari. Richard, en voyant sa tête, lui dit d’un air irrité.
« Eh bien, je vois que tu n’es pas enchantée de me voir ! »
Simone le regardait. Il ne fallait pas qu’il sache ce qu’il s’était passé.
« Mais voyons qu’est-ce que tu racontes. »
« Tu devrais te voir dans un miroir. »
Elle s’approcha de son mari.
« J’ai eu une grosse journée difficile c’est tout. Je suis désolée. »
Elle s’approcha de lui, et il la serra dans ses bras.
« Oui moi aussi, je dirais irritante aussi ! »
« Pourquoi cela? »
« Je trouvais qu’Axel Schwarz te collais un peu trop à mon goût ! »
À cette phrase, tout ce moment qu’ils avaient passés ensembles lui revenaient à l’esprit. Toutes ces caresses, ces gémissements, ses baisers brûlants……. Elle tentait de revenir à elle.
« Ce n’est qu’un collègue Richard. Ne t’en fais pas. »
Puis ils se reprirent dans leurs bras, puis montèrent se coucher.
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Il était retourné chez lui, le cœur en miette. Il se mit sous la douche, pour effacer toute trace de qu’il s’était passé. Il voulait chasser toutes ces pensées de sa tête, mais il n’y arrivait pas. Il l’aimait plus que sa vie. Il avait finit par se glisser sur la paroi gisant de pleur. Comment avait-elle pu lui faire cela… Comment pourrait-il la regarder dans les yeux à présent? Comment pourrais ne pas penser à elle au travail tout en sachant qu’elle était dans le bureau en face du sien? Il ne résisterait plus longtemps…. Il sortit de la douche et se mit au lit. Il n’arriverait jamais à fermer l’œil de la nuit.
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Richard s’endormit à point fermé. Ils ne s’étaient pas parlé en très bon termes avant de s’endormir. Richard voulait lui faire l’amour, mais elle était trop épuisée. De plus, il lui avait fait part de ce problème, ils n’avaient pas fait l’amour pendant des mois. Elle prétextait une trop grande quantité de travail et que cela l’épuisait. Richard avait un peu de mal à la croire. Avec l’attitude qu’elle avait avec lui ces-derniers temps, il se doutait qu’elle lui cachait quelque chose. Elle l’avait remarqué. Elle tentait de le cacher.
« Je t’aime… » « Ne me fais pas ça…. »
Elle rêvait exactement de la même scène qui s’était passée. Les mêmes caresses, les mêmes baisers échangés. Tout dans le moindre détail. C’est la qu’elle se réveilla en sueur.
Oh, mon Dieu. Je l’aime aussi. Je ne peux pas le nier.
Elle l’aimait aussi. Elle s’en voulait de lui avoir fait tellement de mal avec ses mots. Elle s’endormie les larmes aux yeux.
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Elle s’était levée, descendit en bas et vit que son mari était déjà partit. Les filles n’étaient pas là, elles non plus. Elle ne prit pas le temps de déjeuner, elle n’avait pas faim. Elle se rendit au bureau.
Quand elle arriva, elle vit deux ombres dans le bureau de Richard.
« Vous ne vous approchez plus jamais de ma femme ! C’est comprit ? »
Elle entendit un coup. Il l’avait su. Comment ? Axel lui avait dit ? Elle était entrée dans le local. Richard sortit du bureau et il l’a vit. Simone avait vu Axel par terre. Elle était terrifiée. Richard la regardait furieux.
« Tu pensais me jouer dans le dos encore longtemps? Avec cet imbécile en plus! Comment as-tu osé ! »
Simone ne le regardait pas. Elle était terrifiée, Axel ne bougeait pas. Elle se précipita sur lui et le prit entre ses bras.
« Axel.. Axel… Répond-moi ! »
L’homme était un peu sonné, mais il revenait à lui. Il regardait la femme qui la tenait.
« Si…Simone… »
Elle colla son front au sien.
« Oui, je suis là. »
Elle lui caressait les joues.
« Je t’aime. »
Elle l’embrassa sur les lèvres, sans porter un seul regard envers son mari.
« Je t’aime aussi. » Elle passait ses mains sur ses joues, et avait gardé son front contre le sien. « Pardonne-moi. »
Richard était figé. Il regardait sa propre femme déclarer sa flamme à un autre homme. Il était dégoûté.
« Et tu as pensé à nos filles !? »
Il avait haussé la voix. Elle ne répondit pas.
Ses filles? Elle les aimait plus que tout au monde. Elle ne les abandonnerait pas. On peut abandonner son mari, et pas ses enfants. Ses filles devraient s’y faire, car cette femme l’aimait et elles devront accepter Axel dans la famille un jour ou l’autre.
Richard s’en allait en claquant la porte. Le cœur brisé.
Axel finit par la prendre à son tour dans ses bras. Ils restèrent tous les deux assis et s’embrassaient comme un couple d’amoureux.
Ils s’aimaient et n’accordaient pas d’importance à ce qu’il se passait autour.